Vous le savez, mes yeux, le temps fuit ;
déjà le moment approche où vos regards vont s’éteindre
et vos pleurs se tarir.
Ah ! par pitié pour vous-mêmes,
restez ouverts au divin objet que j’adore,
pendant qu’il daigne habiter ici-bas.
Michel-Ange
Madrigal xlv
Mes yeux ( 1540 )