Demeure précaire
Toi qui infuses
L’ivresse de l’élan
À peine si t’anime
Le désir de la durée
Seul le jaillissement
Se rêve profondeur
De l’instant perpétuel
Demeure poésie
Toi l’absolu du verbe
Qui nous épies en silence
Tout au bout de la ligne
L’élan y sera notre mesure
et