Pour : « Lucia Antonia, funambule » de Daniel Morvan

 

« Voici un roman singulier et qui prend toutes les libertés avec les formes d’écriture.
La métaphore du fil ne cesse de se déployer dans ces pages :
il est le fil du spectacle merveilleux qui unissait les deux partenaires ;
il est ce fil tissé par les Parques qui figure la vie, brusquement cassé dans cet accident,
il est enfin le fil qui permet de nouveaux liens avec son ami,
avec Eugénie et Astrée, ce qui fait renouer la narratrice avec l’avant des choses.
Il dit, bien sûr, le travail de l’écrivain. »

Marie-Hélène Prouteau