Ni les nids d’oiseaux ni les hydravions, ni les ponts
Qui enjambent Paris, ni les roses pompons
Du quai des Tuileries, les ombres du Prado
Non plus la pluie battant contre les bow-windows
Et pas ce pas de porte où le jour s’apitoie
Aucune farandole, aucun fildefériste
Pas davantage l’or du toréador triste
Ni la nuit, les cheveux incendiés des comètes
Le cabot famélique au chevet du poète
Cézanne et le pinceau ficelé à ses doigts
Je n’aime rien tant
Rien ne m’émeut tant
Que toi