Ses mains me laissaient de marbre

Le vent de l’autre nuit l’a jeté bas ! Le marbre
Au souffle du matin tournoie, épars. C’est triste
De voir le piédestal, où le nom de l’artiste
Se lit péniblement parmi l’ombre d’un arbre.
L’amour par terre: extrait
Paul Verlaine, Les fêtes galantes