Les vagues ondulées de la mer
chantent le requiem de la vie
dans le brouillard infatigable
le ciel se noie couleur d’infini
dans ce désert sans lumière
suffoque la verdure
danse une belle statue de pierre
le temps l’abolie
des nuages couvrent le ciel
soudain
dans ce désert sans pluie
un battement éternel
s’ouvre à la vie